Pourquoi ne pas offrir un bijou à un bébé qui vient de naître ?

Fêter une naissance avec un bijou, une riche idée !

Fêter l’arrivée d’un bébé en lui offrant un bijou au long cours est assez pratiqué.

Quoi qu’il en soit, leur matière ne doit pas déclencher d’allergie, ils ne doivent pas pouvoir se défaire et leur fermoir doit être bien conçu !

On aime souvent offrir un bijou de naissance à un bébé qui vient de naître. Cependant, attention, ces bijoux doivent être très sûrs, et ce de deux points de vue majeurs : la sensibilité de la peau de bébé (l’or est un bon choix) et la sécurité des attaches. Et, bien sûr, ils doivent faire positivement sens, ce qui exige une attention symbolique particulière tant pour l’enfant que pour son père et sa mère. Alors, quoi offrir ?

La gourmette de naissance

S’il est un bijou de naissance aux avantages certains, c’est bien la gourmette. Outre qu’elle se porte facilement, la gourmette permet aussi d’identifier le bébé, puis l’enfant, puisque l’on peut y graver ce que l’on veut sur chacune de ses faces, par exemple son prénom (et si c’est possible son prénom et son nom) d’un côté, et sa date de naissance de l’autre !

Le « pendentif » de naissance

Dans la tradition catholique, parrain (chaîne) et marraine (pendentif) offrent au jeune ou à la jeune baptisée, une « médaille de baptême » comportant, face arrière, sa date de baptême ou de naissance (et s’il y a assez de place son prénom), et, face avant, un motif moulé porteur de sens, de vie et de protection. Cette tradition a été doublée, à partir du XVIIIe siècle par la possibilité de procéder à un « baptême républicain » ou « civil », à la mairie, en dehors de toute considération religieuse. Bien qu’ils n’aient, ni l’un ni l’autre, de valeur juridique, les baptêmes fêtent l’arrivée d’un nouveau membre dans une communauté (civile ou religieuse). Et c’est cette salutation de bienvenue dans la communauté et, au fond, dans la vie, que doit – logiquement – symboliser le motif moulé dans la médaille offerte au baptisé, sans qu’il n’y ait la moindre obligation à ce sujet.